SICILE | Île de l’espoir
Pozzallo, espoir et refuge, après une traversée hasardeuse subie dans la peur et le silence pour des exilés en quête d’un monde meilleur.
Pozzallo, espoir et refuge, après une traversée hasardeuse subie dans la peur et le silence pour des exilés en quête d’un monde meilleur.
Dimanche 26 avril 2015, François Hollande viendra commémorer la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la Déportation dans l’ancien camp de concentration de Natzweiler-Struthof, en Alsace.
Chaque jour hommes, femmes et enfants creusent sans relâche les entrailles de la terre avec l’espoir que la bonne fortune les sortira bientôt de cet univers sans foi ni loi.
En ces temps de crise, le fameux modèle suédois est devenu moins généreux : pour les sociaux-démocrates, qui sont en tête dans les sondages, la politique très libérale de la droite au pouvoir est une catastrophe et n’aurait fait que précariser davantage les demandeurs d’emploi.
Le Pérou, renommé pour son Machu Pichu et sa flûte de pan se distingue aussi par sa gastronomie : une nouvelle génération de chefs fait concurrence aux cuisiniers hexagonaux.
Plus jamais ça ! C’était le cri lancé par les Européens après la catastrophe de Lampedusa en octobre 2013. 360 migrants avaient péri, venus de l’autre rive de la Méditerranée.
Le 8 novembre 2013, plusieurs îles des Philippines ont été dévastées par le typhon « Haiyan », « Yolanda » pour les Philippins. Bilan : plus de 6000 morts, 2000 disparus et 4 millions de personnes sans logement. Depuis, quatre mois se sont écoulés et les régions touchées souffrent toujours.
Elle n’y est pas retournée depuis avril 2012, à Goundam, sa ville, celle dont elle est maire depuis 9 ans. Oumou Sall Seck a fui juste avant l’arrivée des islamistes. C’était une question de vie ou de mort.
2013, c’est l’année du quinoa selon les Nations-Unies, qui voient dans cette plante aux vertus nutritionnelles exceptionnelles un possible remède aux crises alimentaires mondiales.
Oumou Sall Seck a dû fuir Goundam, dont elle est maire depuis 2004. Une ville située dans le nord du Mali, près de Tombouctou. La région est aux mains de groupes islamistes depuis le printemps dernier. En avril, Oumou a trouvé refuge à Bamako, la capitale malienne, à 800 kilomètres de Goundam, sa ville d’origine.